photo LE PRINTEMPS DU JAZZ PERSAN

LE PRINTEMPS DU JAZZ PERSAN

Jazz - Blues

BOULOGNE BILLANCOURT 92100

Le 01/04/2022 à 20:30

Arshid Azarine, piano Habib Meftah, percussions et chant Hervé de Ratuld, basse Invités : Sussan Deyhim, Roya Arab, Pouya Mahmoodi, Mahyar Tahmasbi et Soheil Peyghambari Après son succès en 2018, Le Printemps du Jazz Persan revient à La Seine Musicale pour une deuxième édition. Cette année, le trio autour du pianiste Arshid Azarine, entouré du percussionniste et vocaliste Habib Meftah et du bassiste Hervé de Ratuld, recrée l'alchimie magnétique entre diaspora et nouvelle scène iranienne. Groove et improvisations sont au rendez-vous avec, entre autres invités exceptionnels : les chanteuses Sussan Deyhim, connue pour ses collaborations éclectiques (Joe Jackson, Mitch Forman, Bobby McFerrin) et Roya Arab (ancienne membre du groupe Archive), Pouya Mahmoodi (chant, guitare et tambûr), Mahyar Tahmasbi (violoncelliste du groupe Pallett) et Soheil Peyghambari aux clarinettes. Une soirée envoûtante à la rencontre de la fusion joyeuse entre influences persanes et jazz.

photo MOZART - SYMPHONIE N°41 JUPITER

MOZART - SYMPHONIE N°41 JUPITER

Musique classique

BOULOGNE BILLANCOURT 92100

Le 29/03/2022 à 20:30

Julien Chauvin, violon et direction Christian-Pierre La Marca, violoncelle Le Concert de la Loge Haydn Concerto pour violoncelle en ut majeur n° 1 Porpora Concerto pour violoncelle en sol majeur Gluck Orphée et Eurydice « Danse des Esprits bienheureux » Mozart Symphonie no 41 en ut majeur « Jupiter » #GRANDSFORMATS Le premier Concerto pour violoncelle de Haydn et la dernière symphonie de Mozart offrent une explosion de vitalité et de couleurs dans l'éclatante tonalité de do majeur. D'une forme ritournelle et dialogique qui tient encore de l'esthétique baroque, le concerto de Haydn est d'un caractère fougueux et d'une virtuosité décoiffante. Un beau lever de rideau par le violoncelliste Christian-Pierre La Marca qui précède une partition non moins enlevée : la dernière symphonie de Mozart, surnommée Jupiter , d'une solennelle et lumineuse majesté. Le thème, issu d'une ariette du cru de l'infatigable compositeur, est amplifié par une écriture orchestrale ample et touffue mais d'une grande clarté formelle. En guise d'interlude et de respiration, deux pages d'une infinie sérénité : la première du maître de Haydn, l'Italien Porpora, la seconde de Gluck, l'aîné de Mozart, au[...]